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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 22:00

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 20:43

 

Le Développement Durable –PRG.  Le Perreux sur marne.    Septembre 13.

Le développement durable n’est une valeur ni de droite ni de gauche,  mais cependant ce n’est pas une valeur compatible avec le laisser-faire propre à l’idéologie capitaliste.

La majorité municipale semble peu respectueuse de ce que nous allons laisser à nos enfants : au Perreux sur Marne, elle a fait des choix malheureux.

Le bétonnage des bords de marne, au pont de Bry a créé une rupture du paysage qui ne va ni dans le sens de l’harmonie ni de la beauté.

Le parvis de la Mairie, à l’esthétique froide (que déjà certains nomment « le Petit Versailles ») n’est ni convivial ni chaleureux.

L’abattage des Ginkgo-biloba de l’esplanade du Centre des Bords de Marne a mis symboliquement à mal ce qui nous rattachait à nos ancêtres puisque ces arbres sont les plus anciens de l’espèce végétale. Pour quel bénéfice ?

Il n’est peut-être pas encore trop tard pour préserver ce qui fait l’âme de notre ville.

Pour cela nous exigeons que soit réalisé le plus rapidement possible, un inventaire de ce qui fait  les caractéristiques urbaines, architecturales, ainsi que de la flore et de la faune de notre commune, afin de mieux les protéger.

Cet inventaire devra se faire avec les services de l’urbanisme et des espaces verts et avec la participation des élus de tous les partis politiques afin de répondre à cette question : que léguerons-nous à nos enfants  pour répondre à cette impérieuse nécessitée d’un développement durable.

 

Patrick MOUGE, élu PRG pour la liste « Un autre avenir pour le Perreux ».

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22 septembre 2013 7 22 /09 /septembre /2013 20:40

  Monsieur le député-maire, vous n’aimez pas les pauvres !

 

Lors du conseil municipal du jeudi 27 juin 2013, Patrick MOUGE, conseiller municipal PRG du groupe d’opposition PS-PRG-PC, interpelle le maire UMP de la commune du Perreux-sur-Marne en ces termes : « Monsieur CARREZ, vous n’aimez pas les pauvres ! ».

 

Cette interpellation fait suite à la présentation du compte administratif, équilibré, il faut le dire, qui montre que la politique de la ville privilégie les dépenses en investissements au détriment des dépenses de fonctionnement, c’est-à-dire des embauches et donc des salaires.

 

Rappelons que si ce budget est en équilibre, c’est aussi grâce aux subventions apportées par la Région, le Département et l’Etat alors même que, en tant que député et Président de la commission des finances, M. CARREZ ne cesse de dénoncer les dépenses des territoires et demande la désindexation sur l’inflation des prestations sociales et des retraites (« Le Figaro.fr » du 24 juin 2013). Discours schizophrénique propre à l’élu qui cumule les mandats de député et de maire et qui s’y perd tout en se réclamant être au plus proche de tous ses concitoyens.

 

D’autre part, alors même que la commune s’est vue retirer son droit de préemption en matière de logements sociaux et condamner à une amende de 452 000 € pour non-application de la loi, les deux chantiers qu’elle se voit contrainte de réaliser par injonction préfectorale ne s’adresseront cependant qu’aux classes « favorisées »puisqu’il s’agira de logements de types PLS (jusqu’à 66 000€ de revenus annuels) et PLUS (52 000€ / an) ce qui évite à la commune la construction de logements de type PLAI (22 000€/ an) qui s’ouvriraient à une population plus modeste.

 

De plus, si la majorité municipale favorise la construction de logements de petite taille, c’est clairement pour ne pas recevoir des familles qualifiées par M Carrez de «  familles dont je ne vous décris pas la composition et qui posent des problèmes de cohabitation et d’intégration scolaire » (Commission des finances du 13 Juin 2013).

 

La peur et la méconnaissance de l’autre, et  aussi un discours électoraliste, amènent la ville à se replier sur elle-même, à ne pas aider ceux qui seraient en droit de l’être et conduit à une dérive droitière des propos.

 

Décidément Monsieur le député-maire, vous n’aimez pas les pauvres !

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26 mai 2013 7 26 /05 /mai /2013 14:09

 

Pour une Nouvelle forme d’économie : le Revenu d’Existence Inconditionnel.

Le paradoxe de la redistribution est aujourd’hui bien connu : il consiste à ne s’adresser qu’à ceux qui sont tombés dans la pauvreté sans nullement anticiper pour ceux qui pourraient demain connaître le même sort. Pour être efficaces, les politiques sociales doivent être les plus universelles possibles en proposant une protection à l’ensemble de la population.

 

La situation d’aujourd’hui se caractérise par un plein-emploi qui n’existe plus depuis longtemps, ce que traduit l’impuissance de nos politiques à inverser une tendance qui amène la stagnation et la régression.

Le RSA « activité » s’est soldé par un taux de non-recours qui atteint près des deux tiers de la population visée. Le RSA « socle », au regard de la hausse des prix, a conduit à une perte du pouvoir d’achat. Par ailleurs les départements qui ont la compétence dans ces aides sociales se sont peu mobilisés.

 

Toutes les études le montrent, les aides sociales, malgré ce qu’en disent certains, ne désincitent pas au travail. Il y a derrière cette objection un effet de moral où seul celui qui a un emploi rémunéré a le droit de consommer plus que pour ses besoins les plus élémentaires.

C’est une mutation larvée de notre société qui voit se développer une hostilité des extrémistes, c’est-à-dire de la part de ceux qui ont peu envers ceux qui sont encore plus pauvres.

L’idée d’un Revenu d’Existence Inconditionnel élimine tous ces effets pervers. Il permet d’intégrer dans un dispositif de droit commun tout individu, de sa naissance à sa mort, en lui garantissant un revenu d’existence. Ainsi, la situation des jeunes, des personnes âgées et de tous les individus s’en trouve améliorée.

 

Actuellement, la protection sociale dépend de l’emploi qu’on occupe. Une insertion aléatoire dans le monde du travail rejaillit inévitablement sur les droits auxquels les individus peuvent prétendre. Le Revenu d’Existence Inconditionnel permet d’universaliser les droits à la protection sociale en les rattachant à la personne et non plus à l’emploi.

 

Il faut à tout prix inverser le flux des personnes qui tombent sous le seuil de pauvreté en raisonnant à contre-pied de ce qui se fait depuis des siècles. Le droit à un revenu doit être institué en le découplant de l’activité rémunérée tout en ne l’excluant pas. Il y a, dans nos pays, une sous-utilisation des capacités de travail et de création qui, jusqu’alors, ne peuvent s’exprimer que par le biais d’un travail salarié ou rémunéré.

 

Le Revenu d’Existence Inconditionnel pour tous.

 

Si l’on se fie à son produit intérieur brut (PIB), la France est aujourd’hui le cinquième pays le plus riche du monde. En 2010, le revenu disponible, après versement des prestations sociales et des prélèvements des impôts directs, s’y élevait à 1276 euros par mois et par personne, adultes et enfants confondus.

 

Si l’on décidait un partage égalitaire, nous disposerions de 1276 euros pour chaque individu, c’est plus que le seuil de pauvreté actuel fixé en France à 60% du revenu médian, soit 960 euros par adulte. La France a donc les moyens d’assurer à tous ses résidents un revenu au moins égal au seuil de pauvreté.

 

Le Revenu d’Existence Inconditionnel consiste en une répartition différente des prestations sociales et du partage des richesses. Il s’agit d’un revenu garanti qui vise à l’éradication de la pauvreté et à une forte réduction des inégalités tout en respectant des principes de prudence, de pérennité et de cohérence.

 

Il est possible de le financer par une « création monétaire par la Banque Centrale Européenne », distribué « en pluie » à tous les résidents de l’Europe (augmentation de la masse monétaire).

Actuellement la BCE le fait en prêtant à taux zéro au système bancaire, sous prétexte de ne pas déroger aux lois du marché. Ensuite, les banques accordent cette masse monétaire aux états à un taux supérieur, empochant au passage un profit non négligeable.

 

Dans l’état actuel de désendettement, ces liquidités supplémentaires n’irriguent pas l’économie réelle, elles se placent sur les marchés financiers : les bourses montent, c’est l’inflation sur les actifs ; les agents ne veulent plus emprunter pour investir.

En versant de la monnaie par le Revenu d’Existence Inconditionnel directement aux particuliers par l’intermédiaire des banques qui y seraient  associées, ce surcroît de masse monétaire créerait un pouvoir d’achat supplémentaire qui alimenterait la demande et relancerait la croissance.Ce flux financier ainsi engendré s’écoulerait par le biais des banques nationales et européennes conquises à ce principe (économiste Yoland BRESSON).

Cette création monétaire n’est ni plus ni moins qu’une relance de l’économie qui amène une amélioration des conditions de vie en veillant cependant à ce qu’il n’y ait pas une dégradation de la situation des plus nécessiteux: L’inflation serait maitrisée du fait que les prix des biens resteraient stables, compte-tenu de la concurrence dans une situation de libre marché et de libre concurrence.

 

Le Revenu d’Existence Inconditionnel consiste donc à verser à chacun, de sa naissance à sa mort, un revenu mensuel qui permet de vivre indépendamment d’une activité rémunérée qui reste possible, souhaitable et même indispensable.

Aujourd’hui, beaucoup d’aides sociales ou d’acquis sociaux, comme les bourses, les congés payés, les congés parentaux, l’indemnité de chômage, les minimas-sociaux, le régime des intermittents du spectacle, sont autant de revenus qui sont découplés du travail.

En Allemagne, le revenu de la population ne provient directement du travail qu’à la hauteur de 41%. En France, en 2005, le revenu de base dépendait à hauteur de 30%, de la redistribution d’allocations diverses.

 

La première conséquence d’un Revenu d’Existence Inconditionnel est de faire disparaître le chômage comme problème dans notre société où désormais le plein-emploi n’existe plus. On économiserait, pour commencer, les sommes engagées dans la poursuite officielle du plein-emploi : cadeaux faits aux entreprises pour les inciter à embaucher. Ces sommes allouées à l’entreprise par les politiques d’exonérations de charges et de réduction des cotisations sociales s’élèvent à des dizaines de milliards d’euros par an à l’échelon européen.

 

Le Revenu d’Existence Inconditionnel pour tous, c’est une autre façon d’envisager la vie, les rapports sociaux s’en trouvent modifiés, chacun pouvant selon son désir accroître ses revenus par le biais d’un travail non rendu obligatoire pour survivre. La protection sociale financée par tous ceux qui touchent ce revenu ne met plus les personnes en situation de précarité au regard d’un emploi qui s’arrête.

 

En Europe, en Amérique Latine, en Asie, l’idée d’un droit au Revenu d’Existence Inconditionnel fait son chemin dans une économie libérale où les lieux de production se sont déplacés et où le plein-emploi est devenu une notion politique obsolète.

 

Patrick MOUGE, conseiller municipal, élu PRG.                               MAI 2013

 

 

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 19:36

 

Sylvia PINEL, ministre chargée de l’Artisanat, du Commerce et de l’Industrie a choisi Saint-Maur pour lancer la Semaine de l’artisanat. Sylvia Pinel a rencontré les élèves du centre de formation d’apprentis (CFA) dans le Val-de-Marne. Ces événements visent à faire mieux connaître les savoir-faire et la diversité des métiers de l’artisanat.

La Fédération PRG du Val de Marne était présente, le cercle PRG du Perreux-sur-Marne était représenté. 

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 18:38

 

Urbanisme et PLU au Perreux-sur-Marne.

 

Les constructions actuelles de la commune ont explosés toute vision urbanistique d’ensemble et témoigne de la volonté de pas en avoir.

 Le manque d’autorité en matière d’architecture fait de la ville du Perreux-sur-Marne une commune qui perd peu à peu son identité.

 

Même si personne n’a vocation à définir une identité, il n’en reste pas moins que c’est à la Municipalité de contribuer dans la mesure du possible à cette identité collective afin que le regard se tourne vers une réinterprétation du passé : pour paraphraser le slogan d’une radio, « si tu n’as pas de nostalgie, tu n’as pas d’avenir ».

 

La forme urbaine contribue indéniablement à l’identité d’une ville et l’architecture par sa visibilité joue un rôle important. L’identité urbaine s’est construite au fil des siècles et le souci de la préserver a toute sa pertinence.

 L’envie est toujours grande d’observer les particularismes locaux de notre ville : maisons Art nouveau (architecte Nachbaur), maisons Art moderne (architecte Tissoire), immeuble avec bow-windows (architectes Houdin et Malo), maisons néo-normandes…

 

La ville doit être belle, douce, écologique et solidaire. L’identité du lieu appelle à une forme d’harmonie et de respect du passé. L’art véritablement novateur recherche le temps perdu, et c’est particulièrement vrai pour l’architecture.

 

Dans le cadre de la densification du Grand Paris, il va falloir une conscience accrue  et critique des notions de qualité de vie, de densité, d’intensité, de complexité, d’écologie, de partage, d’identité.

 La qualité de vie ressentie par l’habitant résulte en grande partie de l’inter dépendance entre spatialité et configuration de l’immeuble d’habitation et de l’espace public : échange visuel et sonore, intégration dans la trame existante, interactions et identités présentes au Perreux.

 

Cette identité architecturale de notre commune s’est élaborée du XVIIe siècle à nos jours. Nous lisons un certain rythme, certains gabarits, certaines proportions ou dispositions des constructions, qui nous permettent d’identifier à coup sûr notre commune.

 

Afin de protéger notre environnement architectural, pour garder ce qui en fait encore la beauté de son domaine urbain et paysager, son patrimoine naturel, il nous faut évoluer vers un Plan Local d’Urbanisation (PLU) toujours repoussé par la majorité municipale de droite.

 

Il faut établir un inventaire de ce qui caractérise notre urbanisme ancien pour mieux le préserver : bâtiments avec intérêt culturel et historique,  composante faune/flore, continuités écologiques à préserver. Tout cela afin de préserver l’environnement à la fois en terme de qualité architecturale et de protection des espaces naturelles.

 

La Municipalité actuelle a fait plus le pari d’une qualité architecturale dure, peu respectueuse d’harmonie pour répondre aux principes du sacro-saint laisser faire économique des années de spéculations immobilières qui assuraient des revenus importants par les frais de mutation qu’elle a générés.

Il faut y mettre un terme et garantir des constructions à l'identité forte et respectueuses.

 

Patrick MOUGE, Conseiller municipal PRG de la Liste «  Un autre Avenir pour le Perreux ». Avril 2013.

 

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 18:33

 

Le temps périscolaire.

 

La refondation de l’Ecole de la République s’accompagne d’une réforme des rythmes scolaires. L’intérêt des enfants de la commune, leur réussite scolaire et leur bien être devient une priorité.

La réforme des rythmes éducatifs entrainera des changements dans le quotidien des familles de la commune. Elle influera sur l’organisation du temps de restauration, sur les temps d’ouverture de l’école, et sur l’organisation du temps périscolaire.

Cette réforme vise à harmoniser le temps scolaire pour le faire passer de 144 jours de classe par an, à 187 jours, valeur moyenne des pays de l’OCDE.

Cette réforme des rythmes à l’école primaire doit permettre de mieux répartir les heures de cours sur la semaine, d’alléger la journée de classe et de programmer les enseignements à des moments où la faculté de concentration des élèves est la plus grande.

 

Au delà du respect des rythmes naturels d’apprentissage et de repos de l’enfant, cette réforme vise à assurer un meilleur équilibre du temps scolaire et du temps périscolaire en favorisant des activités sportives, culturelles et artistiques.

Un assouplissement des taux d’encadrement pour les activités périscolaires sera accordé : un pour quatorze enfants de moins de six ans et un pour dix-huit enfants de six ans et plus. Cette mesure vise à faciliter la mise en œuvre d’activités périscolaires tout en garantissant un encadrement de qualité.

 

Le projet de loi prévoit que les activités périscolaires prolongeant le service public d’éducation nationale seront organisées dans le cadre d’un projet éducatif territorial (PEDT).

 

Dans l’intérêt des élèves de la commune nous souhaitons qu’un vrai dialogue puisse se nouer avec tous les acteurs locaux. Nous avons proposés lors du dernier Conseil Municipal que la ville s’organise pour les activités périscolaires sur le modèle des « Contrats Bleus ». Cette formule, existe déjà dans de nombreuses communes du Val de Marne; elle permet l’accès pour les enfants du primaire et du collège à une multitude d’activités à la fois sportives et culturelles. Ils peuvent découvrir gratuitement de nouvelles disciplines et profiter pleinement de celles qu’ils affectionnent.

 

Avec les « Contrats Bleus », les élèves du primaire et du collège bénéficient tous les jours d’école, d’un temps d’évasion et de détente avant de faire leur devoir de classe.

Chaque trimestre, ils changent d’activités en fonction de ce qu’ils ont défini en début d’année, à partir d’un programme proposé par la Ville qui lie convention avec les Associations subventionnées par la commune.

C’est un vrai temps périscolaire, encadré par des animateurs diplômés et motivés, qui participe au bien-être des élèves et fait naître aussi des vocations. Il n’est pas rare que les enfants, séduits par une activité des « Contrats Bleus », rejoignent ensuite les clubs et les Associations pour continuer durablement en dehors du cadre périscolaire, l’activité qu’ils ont découverte durant un trimestre.

Des financements de l’Etat sont possibles dans le cadre d’une convention pluriannuelle pour la réalisation de tels engagements qui entre dans le Contrat Urbain de Cohésion Sociale (C.U.C.S).

Seule contre partie, une rencontre annuelle de pilotage entre les personnes chargées de l’évaluation qui examinent à la demande de l’Etat et de la commune, les mesures à prendre pour remédier avec la commune, les insuffisances ou défauts qui seront prises en compte dans la discussion concernant la reconduction éventuelle du contrat.

Patrick MOUGE, Conseiller Municipal PRG, pour la liste « Un Autre Avenir pour le Perreux ». Avril 2013.

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 18:28

 

Le Centre de Santé de l’Orangerie.

 

Le Centre de Santé Municipal (CSM) est un lieu de consultations médicales où des professionnels médicaux, paramédicaux et sociaux accueillent les personnes de la commune. Sont alors proposer des consultations de médecine générale et spécialisée, ou dentaires, des examens radiologiques et échographiques, des soins infirmiers et de kinésithérapie, de pédicure, des informations et des conseils de prévention.

Dans un Centre de Santé Municipal, les assurés sociaux doivent s’acquitter du ticket modérateur ou bien pour les plus démunis, les prestations sont totalement prises en charge pour les bénéficiaires de la Couverture Maladie Universelle complémentaire (CMU.C) ou de l’Aide Médicale de l’Etat (AME).

 

La Municipalité a fait récemment l’acquisition du rez-de-chaussée  de l’immeuble qui se construit sur l’emplacement de l’ancienne clinique de l’Orangerie pour en faire un cabinet médical qui sera loué à la Général de Santé. Hors cette société répond à des critères économiques classiques qui rémunèrent ses actionnaires. Il est peu probable qui soient admis des patients ne pouvant s’acquitter des dépassements d’honoraires.

Nous aurions souhaité qu’une Société Civile de Médecins (SCM-Médicale) en convention avec la municipalité  puisse gérer directement ce lieu médical avec la pratique d’honoraires en secteur I, ce qui autoriserait la Couverture Maladie Universelle Complémentaire et l’Aide Médicale de l’Etat.

 

Ici encore, la Municipalité de droite applique les mêmes principes qu’à son habitude : investir dans les murs, et déléguer à d'autre, voire à une société qui rémunère ses actionnaires,  le fonctionnement de la structure. Comme si un Centre de Santé se gérait comme le parking de la Mairie.

Patrick MOUGE, Conseiller Municipal PRG, pour la Liste « Un autre avenir pour le Perreux ». Avril 2013.

 

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 15:25

 

Gilles CARREZ et la Loi SRU.

Critiqué mais finalement maintenu, l’article 55 de la loi relative à la solidarité et au renouvellements urbains ( SRU) fixe à chaque commune de plus de 3500 habitants l’exigence de disposer, d’ici à 2020, de 20% de son parc de résidences principales en logements sociaux.

En mars 2000, le député du Val de Marne Gilles CARREZ y voyait « un retour à l’urbanisme du Gosplan et à l’architecture du béton (…), c’est à dire un texte dangereux pour la qualité de vie et d’habitat des Français ».

Ce texte de loi est apparu dans la loi BESSON (Mai 1990) puis dans la loi d’orientation budgétaire de Michel DELEBARRE (Juillet 91) qui détermine ce taux de 20% pour répondre aux besoins d’améliorer la qualité de vie des Français et permettre plus de mixité sociale.

Cette loi a finalement été adoptée en Décembre 2000 ; elle a été une mesure emblématique du gouvernement JOSPIN.

Le 24 Janvier 2006, c’est la personnalité préférée des Français, l’abbé PIERRE, alors âgé de 93 ans qui se rend en fauteuil roulant au Palais-Bourbon pour défendre l’article 55, évitant ainsi que ce taux de 20% de logement social ne se fasse à l’échelon de l’intercommunalité ce qui l’aurait mathématiquement divisé par 2 ou 3.

Au Perreux sur Marne, sous la pression de son opposition, la Mairie s’est engagée timidement et essentiellement par la rénovation de logements insalubres, dans la réhabilitation de logements sociaux. Mais nous sommes encore loin du compte et notre Député-Maire préfère toujours payer la taxe SRU (qui est reversée de façon hypocritique à la communauté de commune constituée en ce qui nous concerne par Nogent–sur-Marne et le Perreux-sur-Marne).

Laissons faire le marché, tel est le leitmotiv de l’équipe municipale : le résultat conduit à une spéculation accrue sur les terrains et les logements disponibles qui sont désormais devenus inaccessibles au plus grand nombre des familles Perruxiennes.

Nos enfants ne peuvent plus comme nous, s’installer sur cette commune prisée par les investisseurs et les spéculateurs, comme en témoigne la multiplication des Agences immobilières, à la recherche des bons coups à faire.

Une fois le tissu pavillonnaire détruit, la construction d’immeubles « de qualité et à l’architecture douloureuse » se poursuit.  Les nouveaux bâtiments, sont d’une esthétique qui répond plus à des critères de rentabilité qu’à un véritable souci esthétique et d’identité Perruxienne et Francilienne.

 

Sept 12, Patrick MOUGE, élu Conseiller Municipal PRG.

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 15:06

 

Le mot du Président de la Fédération du Val de Marne. 

 

Cher (e) s Ami (e) s,

 

Le Congrès de Paris est intervenu comme le point d’orgue d’une année que l’on peut qualifier d’Historique pour notre Parti.

Plus de 500 délégués s’étaient réunis fin septembre à Paris autour de Jean-Michel BAYLET, Président du Parti Radical de Gauche, Roger-Gérard SCHWARTZENBERG, Président du groupe RRDP à l’Assemblée Nationale et Jacques MEZARD, Président du groupe RDSE au Sénat pour constituer l’équipe dirigeante pour les trois prochaines années et reconduire dans ses fonctions notre Président.

 

Les intervenants ont dit leur satisfaction quant à l’exceptionnelle représentation de notre organisation au sein des institutions de la République (Nos deux Ministres font honneur à leurs fonctions et nos groupes parlementaires remplissent pleinement leur rôle de cogestion critique de la majorité.)

 

Jean-Michel Baylet nous a rappelé la nécessité impérieuse d’inviter de nouveaux adhérents à nous rejoindre. Les fédérations, poumon de notre Parti doivent se renforcer de ce point de vue. Nous prendrons toute notre part dans cette entreprise indispensable à la poursuite de la dynamique de développement, attestée par les résultats électoraux obtenus cette année, alors que s’annoncent déjà les scrutins locaux dont le Président de la République a esquissé le nouveau calendrier devant les Etats Généraux de la Démocratie Territoriale.

 

Roger-Gérard SCHWARTZENBERG, a manifesté le soutien des Députés du groupe RRDP à la politique de redressement du pays, menée avec justice par le Gouvernement de Jean-Marc HEYRAULT sous l’autorité du Président de la République.

Mais ce soutien n’exclut pas la critique. Nous poursuivrons ainsi notre travail d’accompagnement des réformes dans la vigilance.

Les députés RRDP voteront sans appréhension la ratification du TSCG considérant que le texte lui-même ne crée pas de perte de souveraineté budgétaire. Le contexte européen a permis sous l’impulsion du Président de la République d’amorcer une réorientation de l’union avec le pacte de croissance et les malentendus que soulèvent les adversaires du Traité pourraient être levés par l’adoption d’une déclaration interprétative comme l’autorise le droit international. 

 

Roger-Gérard SCHWARTZENBERG, a également tenu à rappeler l’attachement des radicaux à «  l’école publique et  laïque qui remplit une mission essentielle : accueillir sur les mêmes bancs tous les élèves, quelles que soient leur origine, leur confession, leur condition. Elle est par excellence l’école de tous, sans distinction ni différence. Bref, l’école de la République ».

 

Amitiés radicales

 

Charles KNOPFER,

Président du PRG94.

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