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13 juin 2020 6 13 /06 /juin /2020 18:19

Abstention Municipales Mars 2020-06-10.

Une abstention historique pour des élections municipales a marqué le premier tour, dimanche 15 mars : 55,34 %, soit près de 20 points de plus qu’en 2014.

 Si 30 143 communes ont élu leur conseil municipal, les maires qui ont été installés depuis le 23 mai, après la levée du confinement, n’auront jamais bénéficié d’un si faible apport de voix de leurs électeurs.

A tel point que de nombreux recours ont été déposés devant les tribunaux administratifs, contestant la sincérité du scrutin, de nombreux électeurs, notamment les personnes âgées et fragiles, ayant renoncé à se rendre aux urnes du fait de la propagation du Covid-19.

Le Conseil constitutionnel va avoir à se prononcer sur deux questions prioritaires de constitutionnalité qui lui ont été transmises, le 26 mai, par le ­Conseil d’Etat. La première vise à l’annulation du premier tour des élections municipales dans toutes les communes de France. La seconde à l’annulation du premier tour dans les communes de plus de 1 000 habitants où des maires auraient été élus avec les voix de moins de 25 % des inscrits.

La nouvelle édile, avec 66,34% des suffrages (5217 Voix), mais une abstention de 65,48%, fait qu’en définitive elle n’a recueilli les voix que de 22,30% des électeurs inscrits.

Ce scrutin, de fait, pose la question du « fait majoritaire » et de la légitimité des équipes municipales installées dans ces conditions, dans une période qui risque d’appeler de lourdes décisions. La démocratie s’en trouve fragilisée.

 

Inscrits : 23374

Participation : 34,52% (8069)

Abstention : 65,48 (15305)

Exprimés : 97,45 (7863)

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25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 18:02

L’union de la gauche au Perreux-sur-Marne:

EE-LV sera tête de liste pour les couleurs plurielles d’une gauche unie au Perreux-sur-Marne. La liste, constituée par EELV, PS, PRG, PCF, LFI, Generation.S, accueillera :

 . Arnaud Dussud, ancien candidat aux législatives de 2012, est désigné tête de liste.

Célia Rives, cheffe de file PS de la commune

.  Patrick Mouge, conseiller municipal sortant est l'ancienne tête de liste PRG aux élections départementales

. Caroline Lafont, pour le PC

 . Michel Martet, pour LFI

. Johan Ankry, pour Génération.s

. Des places en position éligibles sont également prévues pour des Représentants de la société civile.

 La campagne s’organise  sur des thématiques déclinées lors de réunions publiques :

  1. L’inter-générationnel, le 16 janvier, salle Charles de Gaulle.
  2. L’urbanisme, le 06 février, école Jules Ferry.
  3. Le social et la cohérence des quartiers, le 27 février, école Pierre Brossolette.

« L’union s’est faite facilement, nous discutons ensemble depuis le mois de septembre, voire même depuis juin avec certaines formations » pour former une liste sociale, écologique et citoyenne.

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25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 17:20

 

 

Points clefs 3em réunion publique: Action Sociale et Cohérence des territoires, 27 février 2020, école Pierre Brossolette

 

 

 

Cohérence des Quartiers :

 

  1. maintenir l’accès à des services publics de qualité : exiger la réouverture de la Poste des joncs-Marins

 

  1. équilibrer les actions sociales par la construction de logements sociaux de façon équilibrée entre les quartiers

 

  1. favoriser la mixité sociale et des générations sur tout le territoire de la commune

 

  1. préserver la présence humaine dans les services publics : accueil aux guichets, lutter contre la fracture numérique

 

  1. affirmer les valeurs d’une Commune laïque dans une République laïque : politique culturelle et évènementiel.

 

  1. Implication des Perruxiens dans la gestion des quartiers : référendum à l’initiative des citoyens et des élus

 

  1. des conseils de quartier servent à la cohérence des quartiers : composé d’un membre du conseil municipal, élu par ses pairs et de dix conseillers de quartier qui élisent leur « délégué habitant » pour un mandat de trois ans.

 

 

  1. soutenir les associations qui valorisent la pratique du bénévolat et de la solidarité

 

  1. contraindre les promoteurs à réserver des logements sociaux et intergénérationnels dans leur programme.

 

  1. implantation d’une structure pour loger les personnes handicapées mentales.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La solidarité : en plus de l’action légale du CCAS : aide sociale facultative en direction de la population touchée par la précarité et l’exclusion sociale :

  1. aide alimentaire, en partenariat avec une banque alimentaire
  2. aide à l’accès au logement et à la santé
  3. aide aux sports, à la culture, à l’éducation : passeport multi-activités, contrats bleus, colonies municipales, séjours scolaires
  4. lutte contre les discriminations: les violences faites aux femmes, la discrimination dans les embauches, la prévention dans les écoles élémentaires.
  5. recours au micro-crédit, en partenariat avec une association

 

 

Recherche d’emploi : accompagner les étudiants, nos concitoyens précaires et éloignés de l’emploi

La Mission Locale intercommunale pour l’Emploi des Jeunes : accompagnement social et professionnel pour les jeunes sortis du système scolaire, entre 16 et 25 ans, pour réorienter, trouver une formation ou un emploi, un besoin d’informations et de conseils dans les démarches de la vie quotidienne : santé, logement, accès aux droits.

Accueil Emploi : à partir de 26 ans pour une aide logistique dans la recherche d’emploi, en partenariat avec Pôle-emploi.

G.R.E.P. (Groupe Recherche Emploi du Perreux), des conseillers bénévoles mettent au service des demandeurs d’emploi leurs compétences et leurs expériences acquises dans l’exercice de leur profession.

En plus de ces aides qui existent :

  1. Des cours de promotion sociale pour adultes : formation continue pour les adultes qui recherchent une évolution professionnelle ou souhaitent accéder à un niveau de diplôme nécessaire pour passer des concours. Ces cours se déroulent sur la période de l’année scolaire (de septembre à juin). Les inscriptions ont lieu au moment de la rentrée scolaire.
  2. Des cours de perfectionnement et de préparation aux divers concours des administrations publiques et privées, niveau brevet et CEP. Matières proposées : Français (mise à niveau et initiation pour les travailleurs étrangers), Mathématiques, Anglais (4 niveaux), Espagnol (3 niveaux). Cotisation : modeste pour l’année et par discipline
  3. Des formations aux langues et technologies du tertiaires: Anglais, Italien, Informatique-Bureautique (initiation et perfectionnement à Windows, Internet, Word Excel, multimédia, P.R.E.A.O), comptabilité avec applications sur Excel. Cotisation : modique pour l’année

 

Solidarité intergénérationnelle

  1. aide au maintien à domicile des personnes âgées, en situation de semi-dépendance : livraison de repas, accompagnement social, reconnaissance du statut d’aidants
  2. « Un logement en échange de service » habitat partagé : l’un donne du temps, l’autre offre un toit, notamment pour lutter conte l’isolement des personnes âgées
  3.  Des Ehpads gérés par le milieu associatif
  4. Des logements intergénérationnels dans les nouvelles constructions

 

Création d’une Maison municipale pour défendre l’accès aux soins sans dépassement d’honoraires et développer le vivre ensemble.

  1. « La maison médicale », avec des médecins et dentistes de secteur 1, sans dépassements d’honoraires avec des professionnels paramédicaux (pas de sous-traitance avec des sociétés côtés en bourse)
  2. « La maison des aidants et des seniors»
  3. « La maison des associations »
  4. « La maison des aides sociales à la santé mentale »
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25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 15:57

Points Clefs 2em Réunion publique : 06 Février 2020, Ecole Jules Ferry.

 

Propositions pour l’Urbanisme : Le Perreux ce sera

 

 

La ville compacte :

- La loi Solidarité et renouvellement urbains (SRU) de 2000 a mis l’accent sur le nécessaire équilibre entre urbanisation et préservation des espaces naturels.

  1. cohérence des séquences urbaines
  2. qualité architecturale
  3. sauvegarde des éléments architecturaux remarquables
  4.  mixité sociale et générationnelle
  5. mise en valeur des bords de Marne ainsi que de la biodiversité
  6. développement d’activités économiques
  7. 200 logements/an, soit 60% de l’objectif des 335 logements/an SRU
  8. des programmes d’accession à prix maîtrisés 
  9. création d’un Office Foncier Solidaire : la commune acquière le terrain, le promoteur vend à prix coutant
  10. contrôle et limitation de la délivrance des permis de construire aux promoteurs avec une charte environnementale
  11. densification du territoire sur les entrées de ville, les grands axes

 

 

 

La ville économe :

- Les quartiers tendent à l’autosuffisance en ne consommant pas plus d’énergie qu’ils n’en produisent, ne rejetant pas les eaux pluviales hors de leur territoire, limitant au mieux la production de déchets.

- Pour faire le lien entre l’urbanisme et les transports collectifs, les déplacements de proximité doivent privilégier les modes doux.

  1.  une ville qui consomme moins d’énergie
  2. économies d’énergies sur les bâtiments existants
  3. une charte de qualité environnementale : aspects contractuels de la délivrance des Permis de construire
  4. des constructions performantes (labels THPE et BBC) : objectif d’un bilan carbonne décroissant.
  5.  des devantures des magasins répondant aux critères de l’Unité Départementale d’Architecture et du Patrimoine (UDAP).
  6. l’implantation de commerces dans le quartier des Joncs Marins
  7. un itinéraire avec une continuité entre la rue Gabriel Péri des Joncs Marins et la rue de Gaité qui mène au centre ville.
  8. référendum à l’initiative des élus du Conseil municipal pour les aménagements des quartiers et pour le Pôle de la gare 15 Est.
  9. des navettes électriques
  10. des airs de covoiturage

 

 

 

 

 

La ville sécurisée :

- Le risque d’inondation par submersion ou par remontée de la nappe phréatique est inhérent à la situation géographique de la commune en bordure de Marne. C’est un territoire de «respiration» à l’échelle de l’agglomération mais un lieu d’inondation, d’expansion des eaux, pour une biodiversité riche et des écosystèmes différents.

  1. une solidarité communale et territoriale.
  2. une distribution en parapluie de l’électricité.
  3. une distribution en moyenne pression du gaz.
  4. un rehaussement des murets anti-crues.
  5. la rénovation des valves anti-reflux des eaux de pluie.
  6. démarche conjointe et cohérente d’aménagement progressif des bords de marne avec les communes située en amont et en aval.

 

 

 

 

La ville nature :

- C’est un concept qui permet de maintenir une biodiversité en milieu urbain : plans verts ou bleus avec les berges des rivières, les forêts périurbaines et les parcs urbains.

  1. réalisation de parcs et jardins
  2. des boulevards plantés : ave Alsace Lorraine
  3. des délaissés réaménagés en espaces verts
  4. diminuer par deux la Taxe sur le foncier non bâti
  5. injecter du végétal dans la ville
  6. un lien de continuité avec les communes limitrophes et la ville de Paris
  7. des itinéraires en boucle piéton-vélo : liaison des îles,
  8. créer des aires de repos équipées d’attache-vélo, de tables de pique-nique...
  9. développer les moyens de transport en site propre pour les vélos et les déplacements à pied.
  10. adhésion à la location des Vélos à assistance électrique

 

 

 

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25 janvier 2020 6 25 /01 /janvier /2020 15:54

Points clefs 1ER réunion Jeunes et les Ainés : 16 Janvier 2020, salle Charles De Gaulle.

 

PETITE ENFANCE ENFANCE ET JEUNESSE :

 

  1. construction d’une crèche municipale : avec un fonctionnement assuré par une association à but non lucratif.
  2. revenir sur les concessions faites par délégation pour les crèches, au secteur privé à but lucratif, à la fin des contrats.
  3. une charte Villes et Territoires sans perturbateurs endocriniens : élaboration des repas et réchauffement des plats dans les cantines et les crèches sans l’usage du plastique
  4. placer l’enfant au centre des rythmes scolaires : répartir l’enseignement sur 9 demies-journées avec le Mercredi matin (semaine de 4,5 jours)

 

  1. adhésion à la formule « des Contrats bleus » : après la classe, pratique  gratuite, avec un encadrement éducatif, de toutes les activités sportives et culturelles, avec les associations subventionnées par la commune.

 

  1. un menu végétarien équilibré en protéine, de substitution, tous les jours

 

  1. accès au city-stade avec la création d’une piste d’athlétisme et d’un terrain de jeux de loisirs en herbe qui ne soit pas synthétique.

 

  1. action foncière : mise en place des offices fonciers solidaires pour une accession à la propriété  pour les jeunes adultes afin de leur permettre de rester sur la commune.

 

  1. budget participatif : 10 à 15 % du budget soumis à une votation citoyenne annuelle, ouverte aux jeunes de plus de 15 ans.

 

  1. futur Pôle ligne 15 Est : la ville en tant que Maître d’ouvrage pilote cette étude et doit permettre la réalisation de logements étudiants : proximité des transports, des commerces et de lieux de loisirs.

 

  1. faciliter les déplacements : stations de vélos à assistance électrique sur les pôles multimodales (gares RER A & E, Val de Fontenay/ Les Joncs Marins.. ). Des dessertes de bus Nord-Sud et Est-Ouest avec l’EPT pour se rendre plus facilement sur les sites scolaires

 

SOLIDARITE INTERGENERATIONNELLE : les Ainés.

 

  1. aide au maintien à domicile des personnes âgées, en situation de semi-dépendance : livraison de repas, accompagnement social, reconnaissance du statut d’aidants.

 

  1.  limiter les îlots de chaleur en créant des espaces de fraicheur pour cette tranche d’âge particulièrement vulnérable, mise en place de mobiliers de repos sur les emplacements ombragés.
  2. mise en conformité des trottoirs, des routes et de la signalétique  notamment avec les requalifications urbaines pour les personnes à mobilité réduites.
  3. « un logement en échange de service » habitat partagé : l’un donne du temps, l’autre offre un toit, notamment pour lutter conte l’isolement des personnes âgées.
  4.  création d’une Maison municipale avec : « la maison médicale », avec des médecins et dentistes de secteur1, « la maison des aidants et des seniors», « la maison des aides sociales à la santé mentale », « une permanence numérique » pour aider nos ainées dans leurs démarches fiscales et administratives.
  5. des Ehpads gérés par le milieu associatif ou départemental afin de limiter la délégation au privé à but lucratif 
  6. développer une Police de proximité : ilotage et opérations tranquillité, aide au maintien à domicile et à la sécurité des personnes en situation d’isolement (système de géolocalisation pour les errances et les chutes).
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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 14:09

Nous avons déjà évoqué la nécessité pour la commune du Perreux-sur-Marne de soutenir les solutions de transport doux et partagé sur son territoire. Elle devrait à cet égard adhérer au service « Vélib’ Métropole » de vélos en libre-service qui se développe et doit prendre une nouvelle dimension à partir de janvier 2018, à la suite de son attribution à un nouveau prestataire par le syndicat « Autolib’ Vélib’ Métropole ». Deux fois plus de vélib’ vont circuler et les nouveaux seront pour 30 % à assistance électrique. Ainsi sera-t-il possible de se déplacer plus facilement en utilisant ce mode de transport, seul ou avec d’autres, sur un périmètre élargi dans la métropole du Grand Paris et de se rendre plus aisément d’une ville à l’autre en gagnant une autre station ou en se rendant à un nœud de communication. Le vélib’ à assistance électrique, dont la batterie se recharge lorsque le vélo est en station, permettra de parcourir avec un moindre effort de plus grandes distances y compris avec des dénivelés importants comme il en existe dans notre commune et les communes voisines. Le nouveau vélib’, plus résistant et plus sécurisé, est équipé d’un boitier embarqué qui lui permet d’être connecté à son environnement via une connexion au smartphone de l’usager : l’écran du boitier affiche notamment la distance parcourue et le temps de location. On pourra également, quand la station est pleine, rendre son vélo en l’accrochant à un autre déjà accroché. Pour accueillir ce service, la ville doit investir mais cela en vaut la peine. De l’ordre de 1400 nouvelles stations vont être installées sur le territoire métropolitain. Il serait tout à fait dommage que, faute pour la commune d’y participer à raison par exemple d’une station par quartier et aux gares, les Perreuxiens ne puissent en profiter.

Patrick MOUGE, conseiller Municipal PRG.

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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 14:08

 La ville pourrait adhérer au service « Vélib », un système de vélos en libre service, pour une intermodalité et une complémentarité avec les autres moyens de transport métropolitain. Grace au nouveau «  Vélib » électrique, tous les franciliens devraient pouvoir se déplacer sur un périmètre élargi dans la métropole du Grand Paris, et pouvoir plus aisément se rendre d’une ville à l’autre, et d’une station à une autre pour se rendre par exemple à un nœud de communication ( station RER, bus..). Le « Vélib » électrique, dont la batterie se recharge automatiquement lorsque le vélo est en station, permet de parcourir avec un moindre effort de plus grandes distances y compris avec des dénivelés importants comme nous les connaissons sur notre commune. Le nouveau « Vélib » plus résistant et plus sécurisé est équipé d’un boitier embarqué qui lui permet d’être connecté à son environnement via une connexion au Smartphone de l’usager :  véritable tableau de bord, l’écran du boitier affiche notamment la distance parcourue et le temps de location. Ce système permettra également de rendre son vélo quand la station est pleine en l’accrochant à un vélo déjà accroché. Pour accueillir ce nouveau service, il faudrait que la ville investisse : 1400 nouvelles stations devraient être installées sur le territoire francilien, et il serait dommageable que la commune n’investisse pas dans ce nouveau service. Une station par quartier et par point intermodal ( gare RER , centre ville..) devrait être envisagée.

Patrick MOUGE, conseiller municipal PRG.

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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 14:05

Depuis quelques années les cygnes sont de retour dans notre commune et font le bonheur des promeneurs des bords de marne.
La France a toujours été une terre d’immigration, elle a intégré et continue d’intégrer des vagues successives de migrants d’origines diverses.
Ces phénomènes de migrations sont étroitement liés aux problèmes économiques et politiques et la société française s’est « modelée » à travers ces générations successives d’immigrés.

L’intégration c’est la capacité d’une collectivité à assurer sa cohésion en réunissant les éléments différents qui la compose autour de valeurs et de normes communes, en donnant ainsi les moyens à chacun de prendre sa place dans la société et d’être un acteur à part entière. Le respect des cultures d’origine crée les conditions d’un enrichissement réciproque tout en recherchant, en permanence, la cohésion. L’accueil dans la ville relève du rôle du maire : notre collectivité locale organise ainsi annuellement l’accueil de ceux qui viennent habiter la ville du Perreux : réception des nouveaux Perruxiens, remise d’un livret, discours du maire. Cette pratique concerne toutes les catégories « d’arrivants » afin de les accueillir dignement.

Il est de la responsabilité du maire d’assurer la mise en œuvre du contrat d’intégration, en liaison avec l’Etat afin d’en donner les moyens et d’exercer son contrôle de légalité : le Préfet est le garant de l’égalité républicaine et de la mobilisation des plates-formes aux côtés du maire.
Le rôle des associations dans cette phase d’accueil et d’adaptation des migrants doit être renforcé : des groupes d’habitants, des associations doivent être encouragés à accompagner le primo-arrivant dans cette période d’immersion dans la vie locale. Nos principes républicains, s’appuie sur le développement de la mixité et rejette l’idée de reconnaissance de « minorités » et de développement communautaire. Alors qu’un migrant s’appuie souvent, au départ, davantage sur sa culture d’origine pour mieux intégrer la culture de sa société d’accueil, il enrichira notre société de ses apports.

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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 14:04

Témoignages architecturaux singuliers, parfois emblématiques, on croyait ces constructions à l'abri et définitivement protégées de démolition.

Ces  bâtiments anciens, du XXe siècle, connaissent  la boulimie des pelleteuses, signe avant coureur d'une irréparable disparition et d'un irrémédiable oubli.

La destruction des Halles centrales de Paris fut l'un des grands "crimes contre l'urbanisme" commis dans la capitale lors de la seconde moitié du XXe siècle.

Il ne subsiste des dix pavillons d'origine qu'un seul exemplaire complet le Pavillon Baltard réinstallé en 1976 à Nogent-sur-Marne où il est utilisé comme salle de spectacle. Classé le 20 octobre 1982, l'ancien pavillon n° 8, abritait le marché aux œufs et à la volaille.

 

1-Démolition des biens protégés dans le PLU.

 

Il a été établi dans le PLU de la commune des ELEMENTS DE PATRIMOINE BATI REMARQUABLE AU TITRE DE L’ARTICLE L123-1-5 III 2° DU CODE DE L’URBANISME.

 

 Identifier et localiser ces éléments de construction ont été  repérés afin de les protéger, pour des motifs d'ordre culturel et historique propre à définir l’identité de la commune. Cette protection s’applique donc à des villas d’un type architectural particulier, dont la liste est placée en annexe du PLU.

On peut regretter que l'utilisation de cet article ne se réduise qu’à « une annexe  collée » au document PLU, puisqu'il s’agissait d’une démarche anticipée et qui se concevait dans une vision plus globale.

En ce qui concerne le permis de démolir, cela ne veut pas dire que la démolition est impossible puisque cela n’a pas été précisé dans le règlement du PLU, il s'agirait selon la majorité d'une atteinte au droit de propriété. Cela veut juste dire que la démolition nécessite une autorisation que l'autorité compétente  administrative communale et que l’avis de l’architecte des bâtiments de France n’a qu’une valeur informative mais non contraignante.

 

Dans certains cas, nous pouvons estimer que l'identification n’a pas été suffisante et qu'il aurait été utile de mettre dans le document d'urbanisme des prescriptions qui s'appliqueraient à plus d'éléments remarquables. Par exemple les bâtisses situées au : 32 & 34 Ave Ledru Rollin, 134 Ave du 8 Mai 45, 1 rue de Fratellini. Ces bâtiment qui concourent à l’âme et à l’identité de la ville se situent sur des terrains qui aiguisent les appétits des promoteurs car les programmes immobiliers ainsi déterminés sont jugés économiquement viables et intéressants dans le cadre de plus-values importantes. Elles seront donc démolies.

 

 Ces prescriptions auraient du être insérées dans le règlement pour avoir une efficacité réglementaire maximale et s'imposer aux demandeurs de PC et donc de démolir. L’ordonnance du 08 décembre 2015 avec son décret d’application du 05 janvier 2017 autorise le Conseil Municipal à instituer une obligation d’obtention du permis de démolir avec l’avis de l’ Architecte des Bâtiments de France.

 

Aujourd’hui comme ces prescriptions ne sont marquées qu'au niveau des fiches descriptives, et en annexe, elles n’ont pas de valeur contraignante et deviennent de simples  recommandations que ni le demandeur, ni l'autorité compétente ne sera obligée de suivre.

 

L’article L. 123-1-5, 7° autorise le PLU à fixer des prescriptions de nature à assurer la protection des éléments patrimoniaux qu’il identifie. Dès lors que cette disposition a pour finalité la conservation des biens patrimoniaux les plus remarquables de la commune, le PLU doit pouvoir empêcher toute atteinte à leur intégrité ou, au moins, fixer les limites et les conditions de leur destruction. En application du 7°de l’article L. 123-1-5, la protection d’immeubles pour un motif d’ordre culturel, historique ou écologique implique nécessairement la conservation et la restauration de ces bâtiments et donc, l’interdiction de les démolir, en totalité ou en partie »

2-La démolition des biens non protégés par le PLU.

La question de l’interdiction ou de la limitation par le PLU de la démolition des biens non protégés au titre du 7°de l’article L. 123-1-5 se présente sous un jour différent. En effet, dans ce cas, l’article L. 421-6 ne saurait avoir la même portée.

La solution est moins évidente pour les biens qui ne sont protégés ni au titre des monuments historiques ni au titre du PLU, mais dont la destruction exige cependant un permis de démolir Dans ces hypothèses, deux interprétations peuvent être avancées à partir des dispositions établissant le contenu du PLU et celles relatives au permis de démolir.

 -La première consiste à soutenir que le PLU ne doit contenir aucune forme de réglementation des travaux de démolition en l’absence d’habilitation législative expresse. Privé du support du 7° de l’a article L. 123-1-5, les dispositions qui règlent le champ d’application et les motifs de délivrance du permis de démolir seraient insuffisantes pour influer sur le contenu du PLU.

-La seconde interprétation est plus aléatoire et moins convaincante. Elle est favorable à la réglementation par le PLU des démolitions au motif que le règlement du PLU permet d’encadrer le très large pouvoir reconnu à l’autorité compétente pour délivrer le permis de démolir.

 

3-Les Plans de Sauvegarde et de Mise en Valeur (PSMV).

 L’institution d’un secteur sauvegardé est une mesure de protection portant sur un secteur présentant un caractère historique, esthétique ou de nature à justifier la conservation, la restauration et la mise en valeur de tout ou partie d’un ensemble d’immeubles et notamment des intérieurs dont l'intérêt patrimonial (architectural, urbain et paysager) est reconnu par l’État. Ce dispositif, créé par la loi Malraux du 4 août 1962 visait à l’époque à protéger de nombreux centres anciens. Elle s’applique sur le territoire à un rayon de 500 m  autour :

- du Cinéma "Le Royal Palace" construit en 1920 par l'architecte Millon.

 - de la maison située au début de la rue Henri-Dunant, une mini-datcha située à proximité de l'aqueduc. La bâtisse est une partie du pavillon russe présenté lors de l'Exposition universelle de 1878.

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5 juin 2017 1 05 /06 /juin /2017 22:44

Le président Macron l'a dit, il veut aller vite.

La République en marche serait porteuse d’une révolution démocratique apte à libérer toute l’énergie des forces progressistes, jusqu’ici bridées par les partis traditionnels.

Celle-ci résulte de l’adoption, dans la plupart des pays européens, de la stratégie de la troisième voie théorisée en Grande-Bretagne et pratiquée par le New Labour de Tony Blair. Cette perspective « post-politique » se fonde sur le fameux TINA (There Is No Alternative) de Margaret Thatcher : la conviction qu’il n’y avait pas d’autre alternative à la mondialisation néolibérale.

Avec le triomphe de l’hégémonie néolibérale, la souveraineté populaire a été privée de son champ d’exercice : il n’y a plus une politique économique de droite et une de gauche, mais seulement une «mauvaise politique » et une « bonne politique » comme cet «avant-projet de loi habilitant le gouvernement à prendre, par ordonnances, des mesures pour l'emploi».

Ordonnance n°1 : négociation à la carte dans les entreprises. Attribuer une place centrale […] à la négociation collective d’entreprise en élargissant ses champs de compétence. Cette ordonnance est jugée prioritaire sur le contrat de travail, pas sur les autres points.

L'enjeu : Contrat de travail, durée de travail, santé et sécurité, salaires et emploi... seront désormais au menu des négociations en entreprises. La liste des sujets est très longue, et couvre des thèmes pour lesquels la loi prévoyait jusqu'ici qu'il était impossible de déroger par accord d'entreprise. La loi El Khomri avait ouvert une première brèche sur l'organisation du temps de travail, renvoyant à la négociation d'entreprise par exemple les heures supplémentaires : un accord d'entreprise ou de branche peut prévoir une majoration limitée à 10 %, la règle des 25 et 50 % n'étant que supplétive, c'est-à-dire qu'elle s'applique seulement quand il n'y a pas d'accord d entreprise.

Ordonnance n° 2 : le barème des prud'hommes. Instaurer un référentiel pour le montant de l’indemnité octroyée par le conseil des prud’hommes en cas de licenciement dépourvu de cause réelle et sérieuse. Cette ordonnance est jugée prioritaire.

 L'enjeu : Pour la troisième fois, Emmanuel Macron essaie de faire adopter cette disposition réclamée par les employeurs. Dans le collimateur : la durée des contentieux et surtout le montant, souvent très élevé, des condamnations qui, selon le Medef, les dissuade d'embaucher en CDI. Pour «sécuriser» les entreprises, le texte prévoit en cas de condamnation d'un employeur pour licenciement abusif, d'instaurer un plafond et un plancher pour graver dans le marbre le montant des dommages et intérêts versés au salarié. Initialement prévue dans la loi Macron de 2015, cette réforme a été retoquée par le Conseil constitutionnel. Avec quelques modifications de forme, elle a été glissée en 2016 dans la loi El Khomri, puis retirée face à la mobilisation. Elle refait son apparition, sans que l'essentiel soit précisé, à savoir les montants d'indemnisation. Selon une étude du ministère de la Justice, les indemnités atteignent dix mois de salaire en moyenne, soit 24 000 €. Les syndicats rejettent la barémisation obligatoire et dénoncent la mise sur la touche des juges prud'homaux. Rude bataille annoncée.

Ordonnance n° 3 : référendum à l'initiative de l'employeur. Renforcer la capacité à adopter un accord d’entreprise. Cette ordonnance est jugée moins prioritaire.

L'enjeu : Pour généraliser les accords dérogatoires d'entreprise portant sur les nouveaux champs désormais ouverts, il faut faciliter leur adoption. La loi El Khomri avait mis en place le référendum, permettant, quand un accord est refusé par les syndicats majoritaires (représentant au moins 50 % des salariés), de le faire adopter par référendum auprès des salariés. Aujourd'hui, ce recours possible au référendum est réservé uniquement aux syndicats (à condition qu'ils représentent au moins 30 % des salariés). Le gouvernement veut ouvrir cette possibilité également aux employeurs, dans des conditions qui restent à préciser. Pourront-ils le déclencher s'il n'y a pas de syndicats, ou s'il y a seulement des élus sans étiquette ? Les syndicats y avaient mis leur veto en 2016, craignant que l'employeur ne soit tenté d'exercer des pressions sur les salariés.

Ordonnance n° 4 : redéfinir la place des branches. Redéfinir le rôle de l’accord de branche et réduire le nombre de branches. Cette mesure est spécifiée moins prioritaire.

L'enjeu : C'est le Graal de la réforme du Code du travail voulue par Macron.  Pour être au plus près des besoins des employeurs, de la PME à la multinationale, la primauté sera donnée aux accords d'entreprise sur les accords de branche, lit-on dans l'exposé des motifs de l'avant-projet de loi. Et de préciser: c'est seulement à défaut d'accord d'entreprise que la branche interviendra. Reste à savoir quel sera le rôle de la branche. Continuer à construire des normes sociales ou servir de voiture-balai ? Actuellement, il y a six thèmes de négociations obligatoires dans la branche sur lesquels les employeurs ne peuvent pas déroger dans un sens moins favorable aux salariés, par accord d'entreprise : égalité hommes-femmes, pénibilité, salaires, classifications, prévoyance et formation professionnelle. Selon l'avant-projet de loi, la branche n'aurait plus dans sa mallette que deux thèmes obligatoires (salaires minimums et l'égalité professionnelle). Les quatre autres sujets ne sont pas mentionnés et plusieurs pourraient être transférés vers la négociation d'entreprise. Le fait que, sans accord d'entreprise, la loi (dite supplétive) s'appliquera dans de nombreux cas risque de rendre inutile toute négociation au niveau de la branche. Ce qui serait un camouflet pour FO, très attaché à cette instance de régulation.

Ordonnance n°5 : fusion des IRP. Simplifier les institutions représentatives du personnel (IRP). Cette ordonnance est jugée prioritaire.

L'enjeu : Alors que la loi Rebsamen (2015) commence à peine à s'appliquer, le gouvernement remet sur la table l'épineux dossier des instances de l'entreprise. L'objectif : fusionner le comité d'entreprise, le comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) et le délégué du personnel (DP) dans une instance unique. «Sauf avis contraire des entreprises concernées», précise toutefois le texte, si bien que certaines entreprises pourraient continuer à fonctionner selon l'ancienne formule. Plusieurs possibilités ont déjà été introduites en 2015 : pour les entreprises de moins de 300 salariés, l'employeur peut mettre en place une délégation unique du personnel regroupant le comité d'entreprise et la délégation du personnel ; et dans les entreprises de plus de 300 salariés via un accord d'entreprise. Plusieurs questions se posent : est-ce la remise en cause du rôle du CHSCT, qui, aujourd'hui, a une personnalité juridique lui permettant d'aller en justice, de faire des enquêtes ou de diligenter des expertises ? Les inquiétudes portent aussi sur la baisse du nombre d'élus induite par une telle réforme, qui pénaliserait surtout la CFDT, très implantée dans le secteur privé. Par ailleurs, le gouvernement pourrait autoriser cette instance unique à négocier les accords. Une rupture avec notre modèle de démocratie sociale dans l'entreprise, qui repose aujourd'hui d'un côté sur des élus disposant de droits d'information, de consultation, d'expertise et d'alerte, et de l'autre sur des syndicats (représentatifs) qui seuls ont la capacité de négocier. Depuis de longues années, le Medef a demandé d'autoriser la négociation avec des élus sans étiquette. Ce qui serait un casus belli pour les syndicats.

Ordonnance n° 6 : un chèque syndical. Renforcer la pratique et les moyens du dialogue social. Cette mesure est jugée prioritaire.

L'enjeu : En contrepartie de l'ordonnance n°5 prévoyant une fusion des instances du personnel, l'avant-projet de loi donne du grain à moudre aux syndicats. Ainsi, la formation des représentants de salariés sera renforcée. Dans ce deal, il est aussi prévu de mettre en place le fameux chèque syndical promis par Emmanuel Macron dans son livre-programme «Révolution», une idée inspirée de l'expérience menée chez l'assureur Axa. Selon l'avant-projet de loi, il s'agit de «permettre à chaque salarié d'apporter des ressources financées par l'employeur au syndicat de son choix». Enfin, le gouvernement s'engage à récompenser l'engagement syndical par la «reconnaissance dans les carrières» et la lutte contre la discrimination syndicale.

Ordonnance n° 7 : Les administrateurs salariés.

 L'enjeu : En la matière, la France a un temps de retard sur les pays de l'Europe du Nord. Là-bas, les administrateurs salariés siègent de droit dans les entreprises d'une certaine taille. C'est un point réclamé par la CFDT et la CGT depuis très longtemps. Mais, selon l'avant-projet de loi, le gouvernement compte y aller sur la pointe des pieds. Il s'agit de «mettre en place des incitations» pour que les entreprises augmentent le nombre d'administrateurs salariés par des accords de groupe ou d'entreprise. Parmi les options, il pourrait aussi baisser le seuil autorisant la présence d'administrateurs salariés dans les entreprises (aujourd'hui fixé à 1 000 salariés, il pourrait passer à 500). Mais il y a beaucoup d'obstacles, notamment le statut juridique des entreprises. S'il s'agit d'une SAS (société par actions simplifiée), la règle veut qu'elle n'est pas obligée d'avoir un conseil d'administration et donc pas d'administrateur salarié.

Ordonnance n° 8 : réforme de l'assurance chômage. Réformer l’indemnisation des travailleurs privés d’emploi.» Cette ordonnance n’est pas prioritaire.

 L'enjeu : C'est l'une des grosses surprises de cet avant-projet de loi : la réforme du système d'assurance chômage et surtout son étatisation sont inscrites au menu des ordonnances. «Il faut arrêter de prétendre que les partenaires sociaux pourraient être seuls en charge de la gestion des grands risques, à commencer par l'assurance chômage», lit-on dans l'exposé des motifs. Et d'ajouter : «L'Etat doit reprendre la main.» Une révolution annoncée que le gouvernement justifie par la création d'une assurance chômage universelle «ouverte à tous les actifs — salariés, artisans, commerçants indépendants, entrepreneurs, professions libérales, agriculteurs», précise le texte, et qui sera financée par l'impôt. L'extension de ces nouveaux droits — et notamment l'indemnisation chômage pour les démissionnaires — aura un coût très important, toujours pas chiffré. De quoi craindre une révision à la baisse des conditions d'indemnisation. Le dossier est explosif, ce qui pourrait obliger le gouvernement à prendre plus de temps. La CFDT et la CGT ont demandé à Macron que cela ne fasse pas partie des ordonnances.

Cette perspective post-politique se fonde sur la conviction qu’il n’y a pas d’alternative à la mondialisation néolibérale. Cette absence d’alternative est à l’origine de beaucoup des problèmes auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés : le discrédit des institutions démocratiques, la montée de l’abstention, ainsi que le succès croissant des partis populistes de droite ou de gauche.

 L’objectif d’une démocratie pluraliste n’est pas d’arriver au consensus, mais de permettre au dissensus de s’exprimer grâce à des institutions qui le mettent en scène d’une façon « agonistique ».

Avec le triomphe de l’hégémonie néolibérale, la souveraineté populaire a été privée de son champ d’exercice.

Dorénavant, c’est la possibilité même de contestation qui est récusée avec la disparition de la distinction entre la droite et la gauche.

C’est le stade suprême de la post-politique : ce recyclage de la troisième voie, au lieu d’endiguer le Front national, peut conduire à son renforcement et même à sa victoire en 2022.

Cercle PRG Le Perreux sur Marne: Patrick MOUGE, suppléant aux élections législatives PRG-PS: Caroline ADOMO (PS) & Patrick MOUGE (PRG).

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