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5 juin 2016 7 05 /06 /juin /2016 13:38

La fraternité.

La fraternité, partie intégrante des droits de l’homme, est l’un des trois piliers de la devise de la République telle qu’énoncée à l’article 2 de notre Constitution. Elle est inscrite sur le fronton des édifices publics avec les deux autres, la liberté et l’égalité.

Mais si l’on en croit le philosophe Régis Debray, elle serait devenue comme une vieille cousine que plus personne n’invite à danser. Cela semble bien le cas au Perreux où le logement social, l’une des manifestations de la solidarité, corollaire de la fraternité, fait figure de mal aimé. Ainsi peut-on lire dans la préface que le maire de la commune consacre au projet de plan local d’urbanisme (PLU) dans un numéro récent du PNC qu’il n’y aurait jamais eu de terrains libres pour accueillir du logement social et que les équipes municipales ont toujours eu à cœur de ne pas « bétonner ».

Personne ne souhaite transformer notre ville en une nouvelle « Cité des 4000 ». Pour autant, l’amalgame entre « logement social » et « bétonnage » n’est plus de mise depuis fort longtemps. Il sert surtout de prétexte à l’adoption d’une loi du moindre effort.

Les promoteurs immobiliers dont la publicité s’étale dans le PNC semblent de leur côté ne pas rencontrer trop de difficulté à trouver du foncier pour mettre finalement à mal l’environnement pavillonnaire si caractéristique de notre commune que nous apprécions tout autant que d’autres.

On ne peut se résoudre à la règle du laisser faire économique qui est le choix de l’équipe municipale. La délégation accordée à l’établissement public foncier d’Île de France est certes un bon pas en vue de la constitution de réserves foncières là où cela paraît possible. Mais force est de constater que de l’aveu même du maire, des actions de cette nature n’auraient pas été engagées sans la pression qu’exercent en ce sens l’Etat et le Grand Paris. C’est une politique plus volontariste qu’il convient de conduire pour répondre aux besoins, sans s’abriter pour ce faire derrière la volonté d’autrui.

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5 juin 2016 7 05 /06 /juin /2016 13:23

La crise des « migrants ».

Un drame quotidien se joue à nos frontières et sur toutes les routes d’Europe : la crise de ceux que la presse appelle « les migrants ». Un défi d’accueil pour l’Europe, pour la France et pour les communes dont la nôtre, ville prospère de l’est parisien. C’est là sans doute une source possible de polémiques ou d’indignations mais la question relève de l’urgence.

Quelles seront les propositions de notre commune pour venir en aide à cette population qui cherche une terre d’asile apaisée ?

Il ne peut y avoir d’ostracisme entre ceux qui fuient pour des raisons économiques des lieux où l’on a faim et ceux qui fuient des théâtres de guerre où l’on meurt.

Comme l’a dit Nelson Mandela : cela semble toujours impossible jusqu’au moment ou c’est fait.

Si notre commune manque d’hébergements pour l’accueil de réfugiés, une péréquation financière pourrait s’envisager par solidarité avec d’autres communes capables d’en offrir, à la manière d’une certaine façon de la pénalité « SRU » pour carence de logements sociaux. D’autres formes d’aide sont en outre envisageables.

Patrick MOUGE, cercle PRG, Le Perreux sur Marne

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16 mai 2015 6 16 /05 /mai /2015 13:54

CIO de Nogent-Le Perreux-Bry.

Le Centre d’information et d’orientation (CIO) de Nogent aide des collégiens, lycéens, en post-Bac, en formation professionnelle en quête de réponse pour leurs orientations scolaires, universitaires et professionnelles.

Cet interlocuteur privilégié accompagne plus de 1100 jeunes/an depuis 1988 dans le choix de leur avenir.

Les trois Mairie de droite : Nogent-Le Perreux-Bry ont décidé d’un commun accord de ne plus prendre en charge le loyer du CIO à partir d’août 2015 mettant ainsi en grave difficultés financières ce centre et remettant en cause son existence.

Ce loyer ne représente pourtant que 27000E/an, c’est-à-dire une goutte d’eau dans les budgets des communes telles que les nôtres. Ajoutons que le coût de fonctionnement (salaires…) est supporté par l’Etat et l’Education nationale.

Ces communes prétextent qu’en raison de la baisse de la dotation globale de fonctionnement, elles n’ont plus les moyens de payer.

Comment comprendre alors que ces communes continuent de déroger délibérément à la loi en ne construisant pas suffisamment de logements sociaux.

Elles choisissent de débourser plus de 300 000 euros d’amendes chacune et chaque année : n’est-il pas possible d’arrêter cette gabegie d’impôts locaux en construisant des logements adaptés à tous ?

Nous aurions alors, les moyens de conduire une véritable politique en faveur de la jeunesse.

Les représentants du Cercle PRG de Nogent-Le Perreux-Bry, exigent que Messieurs JP.Martin (Nogent), G.Carrez (Le Perreux) et JP. Spilbauer (Bry), reviennent sur cette décision afin de ne pas hypothéquer l’avenir de nos jeunes.

Patrick MOUGE, cercle PRG du Perreux-sur-Marne.

Mai 2015

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16 mai 2015 6 16 /05 /mai /2015 13:04

L’accès à la cantine scolaire : la fin de l'apartheid dans un service public.

C'est la fin d'un combat de plus de dix ans; c'est aussi la fin de l'apartheid dans un service public. Et pas pour des raisons électoralistes : ces enfants ont tous moins de douze ans.

Les députés ont adopté, en première lecture, une proposition de loi radicale de gauche qui garantit l'accès à la cantine scolaire de tous les enfants, quand ce service existe dans leur commune. «Il ne peut être établi aucune discrimination selon leur situation ou celle de leur famille», souligne le texte court, voté par tous les groupes de gauche, PS, PC, Verts et Radicaux.

L'exclusion d'enfants de chômeurs est aussi une atteinte à l'activité des femmes et pour certains enfants, le repas de la cantine est le seul repas équilibré de la journée.

Le texte prévoit à ce stade une majoration éventuelle de la Dotation Globale de Fonctionnement (DGF). Cette bataille de l'égalité pour tous face à la cantine dure depuis des années, certaines municipalités considérant qu'en raison de places restreintes, il faut donner la priorité aux enfants dont les parents travaillent : les chômeurs qui veulent que leur enfant mange à l'école doivent d'abord rencontrer le maire, contrairement aux autres parents.

La plupart des municipalités concernées pointent le manque de places ou le besoin d'économies en estimant qu'un enfant de chômeur peut être pris en charge par son parent le midi parce que justement, il ne travaille pas. Les parents n'ont alors comme solution qu'un recours en justice, coûteux, long et cher.

La question ne se pose pas pour les collèges et les lycées, la mise en place d'un service de restauration scolaire étant obligatoire pour les départements et les régions. Au primaire, où 400 millions de repas sont servis chaque année, un enfant sur cinq est concerné.

L'égalité pour tous dans les cantines est nécessaire au moment où le chômage frappe de nombreuses familles.C'est un droit nouveau et ce n'est pas si fréquent par les temps qui courent.

C'est aussi une action radicale, une action de solidarité et de fraternité: le nombre d'enfants vivant en dessous du seuil de pauvreté est aujourd'hui de 2,7 millions, il a augmenté de 440 000 en 4 ans. Ce sont des enfants de chômeurs mais aussi de travailleurs pauvres. Pour beaucoup, ce repas pris à la cantine est souvent le seul de la journée. Il fallait en finir avec cette hérésie qui couplait privation et discrimination ce qui revient à discriminer, voire à stigmatiser des familles déjà en difficulté.

Quant à l'argument du nombre de places limité, c'est une objection classique, parfois fondée. Mais c'est rare. Il est vrai qu'assurer un service de restauration scolaire revient cher. Mais on peut faire appel aux subventions d'état pour aider et choisir de privilégier les enfants. On peut aussi aménager les services au lieu d'aller vers un agrandissement des locaux.

La restauration scolaire n'est pas une compétence obligatoire des communes, mais quand celles-ci en ont décidé la création, elles sont soumises au principe d'égalité des usagers au service public, comme l'a affirmé la justice administrative.

Il faut que le Sénat vote conforme le texte qui est très court: il comporte seulement deux articles et ce projet de loi n'aura pas besoin d'un retour vers l'Assemblée. Il pourra entrer en vigueur sur le champ, au plus tard à la prochaine rentrée scolaire.

Patrick Mouge, conseiller municipal PRG et Roger-Gérard Schwartzenberg, Président du groupe parlementaire Radical de gauche à l'Assemblée nationale.

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16 mai 2015 6 16 /05 /mai /2015 11:46

La proposition de loi sur la laïcité et la petite enfance adoptée à l’unanimité à l’Assemblée.

La laïcité est plus que jamais nécessaire dans un temps marqué par le retour du fait religieux, parfois sous des formes extrêmes.

Pour les Radicaux, la République laïque n’est pas anti-religieuse. Elle se veut seulement indépendante des religions.

Elle respecte toutes les croyances ; elle garantit le libre exercice des cultes, mais elle n’en reconnaît aucun. C’est précisément cette neutralité de l’État entre les diverses religions qui permet leur coexistence harmonieuse dans la même nation.

Cette éthique gagne à s’appliquer dès le plus jeune âge, car elle présente deux avantages principaux :

- d’abord, elle constitue un principe de liberté : Liberté de penser, liberté de conscience, qui est très importante pour des enfants. C’est-à-dire pour des êtres en éveil et en formation.

- la laïcité est aussi un principe de fraternité : l’école de la République, c’est l’école de tous. Elle accueille sur les mêmes bancs tous les élèves, quelles que soient leur origine, leur conviction, leur confession. Qu’ils s’appellent Christian, David ou Karim. Elle leur permet de vivre ensemble, dans la fraternité, dans le respect mutuel et la tolérance, par-delà leurs différentes appartenances confessionnelles.

La laïcité réunit et rassemble. Elle fédère. Elle renforce l’unité de la République, et ce qui est souhaitable à l’école primaire l’est aussi à la crèche pour les plus jeunes. Mais, dans ce secteur, les règles sont complexes, voire fluctuantes, étant essentiellement d’origine jurisprudentielle. Elles doivent donc être clarifiées ou stabilisées par la loi pour régir désormais sans incertitude juridique le secteur de la petite enfance.

De quoi s’agit-il, surtout ? De permettre ce vivre ensemble : la crèche est, généralement, un lieu où se côtoient des enfants de toutes origines, venant de familles diverses et de religions différentes. La neutralité s’impose pour ne heurter aucun d’eux et permettre la coexistence harmonieuse de tous dans la même structure.

Il est important de pouvoir fréquenter, dès le plus jeune âge, des lieux de solidarité et de concorde.

La force intégratrice de la laïcité est déterminante face à la montée des communautarismes, fondés sur l’origine ou la confession. Ce différentialisme pourrait fragmenter la collectivité nationale en entités particulières, distinctes et séparées les unes des autres. Le risque, ce serait une République éclatée, déstructurée, où l’on perdrait le sens d’une appartenance collective.

Face à ce risque, le meilleur antidote, c’est la laïcité, qui réunit et rassemble par-delà les différences.

La République laïque s’oppose à tout ce qui divise, à tout ce qui sépare. Elle est facteur de cohésion et d’unité, quelle que soit l’origine, la croyance ou la culture.

Nos concitoyens veulent une société apaisée, une société de confiance et de tolérance. Tout cela se joue dès le début, dès le plus jeune âge : les enfants sont en première ligne, avec leur fraternité spontanée, avec leur solidarité naturelle.

Dans des structures d’accueil des tous petits, commence ce que Pierre Mendès France appelait « l’apprentissage en commun de la vie commune », avec pour demain les perspectives d’un respect mutuel, d’un destin de concorde, d’un espoir partagé.

Patrick MOUGE, conseiller municipal PRG avec Roger-Gérard Schwartzenberg, Député.

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19 mars 2015 4 19 /03 /mars /2015 19:54

Lien de l'enregistrement Vidéo de l'intervention de Patrick MOUGE, candidat PRG soutenu par le PS:

Débat entre candidats du canton de Nogent-sur-Marne – Le Perreux-sur-Marne

https://youtu.be/eozEV3WeA90

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22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 14:17
Travail du groupe PRG-PS au Cercle PRG Le Perreux

Cercle PRG.

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22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 13:58
Profession de foi: élections départementales mars 2015

Madame, Monsieur,

Les 22 et 29 mars prochains, vous allez élire vos conseillers départementaux sur le canton élargi Nogent &Le Perreux, canton dont le nom est désormais « Nogent-sur-Marne 14 ».

Pour la première fois vous devrez choisir une femme et un homme qui seront vos représentants au conseil départemental. Ce nouveau mode de scrutin est une véritable avancée pour l’égalité femme/homme en garantissant la parité dans nos instances.

Élus conseillers départementaux, nous engagerons toutes nos forces pour construire un véritable projet d’avenir et nous défendrons nos valeurs socialistes, radicales et républicaines.

Nous voulons un département solidaire aux compétences renforcées dans son trôle de redistribution et de solidarité territoriale et humaine, dans le maintien des subventions, dans sa compétence des collèges et des transports, mais aussi qui puisse continuer à défendre :

  • par la laïcité, une intégration multiculturelle ;

  • par la solidarité, une vie digne et active en pérennisant le lien social ;

  • par les services publics, un développement social, technologique et économique ;

  • par un tissu associatif conforté, la culture, le sport et le tourisme accessibles à tous.

    Si le département venait à changer de couleur politique, cela aurait pour conséquence une atteinte à la cohésion sociale et la mise à mal des compétences de proximité. Ce serait de nombreux investissements qui disparaîtraient alors qu’aujourd’hui l’investissement est le moteur de la croissance dans notre département.

    Pour que nos concitoyens puissent toujours compter sur un département de gauche qui les protège et qui s’engage pour eux, à leurs côtés, l’union des forces de gauche et de progrès est indispensable !

    Le conseil départemental doit rester à gauche et continuer de représenter un pôle de défense pour des projets justes et ambitieux dans nos deux communes. C’est l’engagement que nous prenons et nous vous sollicitons pour que ce suffrage en faveur des forces de progrès soit le plus clair possible.

Votez massivement pour que l’abstention ne décide pas à votre place.

Fabienne GYSEL, candidate titulaire - Parti socialiste.

Patrick MOUGE, candidat titulaire - Parti Radical de Gauche.

Monique DELAUNAY, suppléante - Parti socialiste
Nicolas LEBLANC, suppléant - Parti socialiste

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22 février 2015 7 22 /02 /février /2015 13:49
AFFICHE: élections départementales 2015

Affiche pour les élections départementales des 22 et 29 mars 2015

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8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 22:11

Développer la pédagogie de la laïcité

1- Instaurer une journée nationale de la laïcité (non chômée) le 9 décembre.

2- Adopter une « charte de la laïcité à l’intention des élus et responsables institutionnels » pour préserver la liberté de conscience de tous les citoyens.

3- Inscrire dans la Constitution, les principes des deux premiers articles de la loi du 9 décembre 1905 :“ la République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes” ; “La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte”.

4- Mettre en place un enseignement des conditions historiques et juridiques d’application de la laïcité dans la formation des professeurs, personnels éducatifs et chefs d’établissements.

5- Mettre en place un enseignement de la laïcité dans les formations préparant aux métiers des trois fonctions publiques, et des carrières sanitaires et sociales

Appliquer la loi de 1905 sur l’ensemble du territoire de la République

6- Favoriser l’adoption des mesures législatives nécessaires à l’application de la loi de 1905 dans les territoires où elle ne s’applique pas. Alsace-Moselle

7- Mettre en place une sortie progressive du régime des cultes reconnus visant l’harmonisation avec le droit commun(loi du 9 décembre 1905) ;

8- Abolir au plus tôt le délit de blasphème;

9- Abolir l’obligation de suivre un enseignement religieux dans les écoles publiques.

Promouvoir l’école publique laïque et gratuite

10- Créer les établissements scolaires publics et les sections nécessaires dans les zones qui en sont dépourvues, chaque fois que les effectifs des élèves concernés le justifient.

11- Supprimer l’obligation pour les communes de financer la scolarité des élèves dans les établissements privés situés dans d’autres communes, découlant de la loi Carle (Art. L.442-5-1 et L.442-5-2 du code de l’éducation).

12- Faire étudier l’impact du déploiement de la charte de la laïcité dans les écoles et établissements d’enseignement publics.

13- Faire respecter, par les adultes accompagnateurs de sorties et déplacement scolaires, l’obligation de neutralité religieuse, politique, et philosophique requise par le fonctionnement du service public de l’éducation.

En finir avec les financements indirects aux cultes

14- Mettre un terme au financement public des activités consistant en l’exercice d’un culte, même présentées comme culturelles.

15- Faire procéder à un état des lieux chiffrés de l’ensemble des financements publics en faveur des cultes.

Faire vivre la laïcité dans l’enseignement supérieur

16- Faire respecter l’art. L.731-14 du code de l’éducation réservant le titre d’université aux établissements d’enseignement supérieur publics ;

17- Abroger l’accord entre la République française et le Saint-Siège sur la reconnaissance mutuelle des grades et diplômes dans l’enseignement supérieur.

18- Faire diffuser dans les établissements publics d’enseignement supérieur, et annexer à leur règlement intérieur, la Charte de la laïcité dans les services publics.

19- Prohiber, dans les salles de cours, lieux et situations d’enseignement et de recherche des établissements publics d’enseignement supérieur, les signes et tenues manifestant ostensiblement une appartenance religieuse.

20- Faire respecter, dans les centres d’examen, l’obligation d’identification, l’interdiction de tout objet ou manifestation susceptible de gêner les autres candidats ou de perturber le déroulement de l’épreuve, et contrevenant à la neutralité des conditions d’examen.

Assurer la liberté de conscience

.Audiovisuel

21- Donner un temps d’antenne sur les chaînes publiques de télévision aux mouvements philosophiques non-confessionnels, et aux courants de pensée laïques, libres penseurs, athées.

.Sport

22- Exiger le respect, dans les compétitions olympiques, de l’égalité hommes-femmes et de la règle 50 de la Charte Olympique interdisant toute forme de « propagande politique, religieuse, ou raciale ».

.Ethique

23- Reconnaître, dans l’encadrement législatif de la fin de vie, le droit de mourir dans la dignité selon les souhaits exprimés par le patient.

.Entreprises

24- Favoriser le développement des chartes de la neutralité religieuse dans les entreprises qui le souhaitent.

.Europe

25- Défendre et promouvoir le respect de la liberté absolue de conscience au niveau européen.

1 Art. 166 du code pénal local.

2 Article 1erde la loi du 15 mars 1850 dite Loi Falloux.

3 Accord du 18/12/ 2008, décret n° 2009-427 du 16/04/2009.

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